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Cela fait six ans que Cosmos70 se promène sur les chemins de la pop et de l’électronica.
Qu’elles soient numériques ou charnelles, le groupe écrit depuis ses débuts des chansons aux tonalités mineures teintées d’une mélancolie lunaire. De ses pérégrinations, le groupe revient avec dans ses bagages une musique où instruments et machines se mêlent, où l’analogique et le synthétique se confondent dans un même souci mélodique.

Kármán line est le troisième album du trio, après Voices paru en 2008 et A Poet With Nothing To Say en 2011. Le premier s’aventurait sur les terres de l’électronica, le second sur les voies du psychédélisme. Ce nouvel opus se balade dans les paysages de l’indie-pop, pour nouvelle promenade atmosphérique et sonore.

“Kármán Line”, paraitre novembre 2013

Quelques mots sur le choix du titre : Kármán Line est un lieu indicible, une ligne onirique située à cent kilomètres au-dessus de nos têtes. C’est la limite entre la Terre et l’espace, une frontière où l’atmosphère se raréfie,où l’on peut s’imaginer flotter entre deux mondes. Les titres de l’album sont peut-être là, en apesanteur, dans l’hésitation. Tous sont chantés dans des tonalités mineures, avec pour principaux instruments des guitares et des synthétiseurs, l’ordinateur ayant servi pour l’essentiel de batteur. Kármán Line est résolument pop dans sa construction, même si les couleurs restent sombres, mélancoliques, plus proches des soubresauts de la Terre que des lumières du Soleil. A mi-chemin de son écriture est venue Polina, une artiste russe de Saint-Pétersbourg qui a invité le groupe en septembre 2012 à jouer dans son pays. De cette rencontre sont nés trois titres, Promises, The Other et Winter Landscape, qui confèrent au disque une ambiance moins inquiète, en tout cas moins noire. Kármán Line est peut-être un album en clair-obscur...
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