Search
“La Jeanne” naît en 2007 de la rencontre entre la comédienne Jane Bréduillard, et le musicien Robert Baccherini.
Fasciné par le timbre de voix et la présence de Jane, il lui composera un répertoire de chansons aux couleurs latines s’enlaçant sur un lit aux couleurs de jazz.

Jane Bréduillard [chant]

Issue d’une famille nombreuse de mélomanes, Jane apprend à chanter en autodidacte. Après des études d’arts graphiques, elle vit sa première expérience sur scène par le biais du théâtre. 2007 la révèle en tant que comédienne ; elle mène ainsi de front deux spectacles au Off d’Avignon. D’une part, Valse nº 6 de Nelson Rodrigues (pièce alliant ses qualités de comédienne et de musicienne) et d’autre part, son propre spectacle Devos à moi d’après les textes de Raymond Devos (suivi d’une tournée de trois ans). Elle rencontre à cette occasion Baccherini, musicien et compositeur aguerri, avec qui elle collabore deux années durant.

Arrivent les premiers concerts à travers la France pour faire ses armes, Jane devient peu à peu « la Jeanne » : nom que lui donnent les musiciens. Entre théâtre et musique, elle se partage jusqu’en 2011 où les séances d’enregistrement s’enchaînent sur un rythme plus soutenu.

On fait, défait, visite et revisite chacune des mélodies, peaufine ce premier album qui naît aujourd’hui.

Robert Baccherini [guitare, compositeur, arrangeur]

Il commence la guitare à 13 ans, apprend son Brassens par cœur, puis se frotte à la pop au travers de différents groupes et orchestres de danse. À 20 ans, il rencontre Béatrice Tékielski, qui deviendra « Mama Béa ».

Ils fondent ensemble le groupe Mama Béa Tékielski + Ego et commencent les répétitions avant de se produire en concert dans tout l’Hexagone.

Le groupe dissous, Baccherini garde le contact avec Mama Béa, travaille sporadiquement à ses côtés, puis participe aux enregistrements et aux tournées, d’abord en tant que guitariste et leader, pour devenir ensuite son réalisateur et compositeur. À Paris, ils se produisent à L’Olympia, Bobino (l’ancien), au Théâtre Sarah-Bernhardt, au Café de la danse. Ils participent à de grands festivals tels que les Francofolies, la Fête de l’Huma (grande scène) et parcourent la France pendant douze ans (1 500 concerts). Leur collaboration s’achève en 1992.

Baccherini travaille alors en tant que guitariste et/ou réalisateur avec divers artistes : Paulo Mondano, Guy Bonnet, Les Balayeurs du désert / Royal de luxe. La suite de sa carrière tourne autour de deux axes : d’une part, l’écriture et l’interprétation de ses propres chansons avec la sortie de trois albums ; d’autre part, la composition de musiques de films documentaires pour le réalisateur Bernard George.

Presse

« Ah cet indéfinissable petit voile qui se permet la cassure grave, l’aérien, le captivant. La Jeanne détient, outre cet indéniable talent vocal, un style. » La Terrasse

«Force,nuance, distinction» Hélène Hazera, France Culture

« Une perle de sensualité grave et de belle écriture » La Gazette de Montpellier

« Sur fond de tango,accordéons et guitares nous invitent à la danse, et donnent à La Jeanne une teinte des plus originales sur la scène française indépendante. » Francofans

«La jolie môme titille, charme, envoûte, joue sur toute la gamme du féminin portée par un répertoire sur mesure et une voix qui swingue, se perd dans le grave, s’envole, va où elle veut. » La Provence

«Un espoir de la belle chanson française... » La Marseillaise
Close

Press esc to close.
Close
Press esc to close.
Close

Connecting to your webcam.

You may be prompted by your browser for permission.